Le moins qu’on puisse dire de Max Rockantasky, c’est qu’il aime créer la surprise. En 79, Mad Max pourrait n’être qu’un ersatz ciné de Métal Hurlant bricolé avec les moyens du bord par quelques australiens allumés, et pourtant : il emporte déjà tout sur son passage. Et pas question de lever le pied pour le deuxième opus : il aura ni plus ni moins imposé le canon du post-apo pour les années à venir.
Après un Beyond Thunderdome à l’impact moins unanime, on aurait pu le croire rangé des voitures. C’était avant que Fury Road s’extrait du development hell, non pas comme une carcasse vintage repêchée par la mode des suites/remakes/reboots nostalgiques, mais comme une des plus grosses claques de la décennie, laissant la concurrence dans le retro.
L’équipe des Intergalactiques vous propose de voir comment, même trente ans après, Max peut toujours en avoir autant sous le capot.
EN L’AGRÉABLE COMPAGNIE DOMINICALE DE :
✔️ ANNE CANOVILLE, libraire et Responsable Littéraire des Intergalactiques.
✔️ MATHILDE DEMARET, libraire aux 9 Mondes et Responsable des invité·e·s du festival.
✔️ NICOLAS SÉBASTIEN LANDAIS, Cinéphile déviant & responsable Cinéma du festival.
✔️ BENJAMIN PATINAUD, de la chaîne Bolchegeek et de l’équipe de programmation.
✔️ JAL OU BIEN JULIEN, à la coordination et à la technique.
